Altaprofits : deux nominations importantes
Altaprofits franchit une nouvelle étape dans l’exécution de son plan stratégique de transformation visant la croissance de l’entreprise sur le marché français de l’épargne, de la gestion de (...)

La Bourse de Paris a terminé stable (-0,02%) mardi, retrouvant son calme après deux séances plus agitées en raison des tensions qui ont éclaté au Moyen-Orient dans le sillage de l’assassinat d’un général iranien par les États-Unis.
Publié le par , mis à jour le
L’indice CAC 40 a lâché 1,24 point pour terminer à 6.012,35 points, dansun volume d’échanges limité de 3,1 milliards d’euros. La veille, il avait fini en recul de 0,51%. La cote parisienne a ouvert en hausse avant de voir ses gains s’effriter et de finir à l’équilibre. "Ce matin, les marchés étaient bien orientés" dans le sillage de la clôture positive de Wall Street lundi, mais "cela s’est un petit peu effrité" par la suite, a souligné auprès de l’AFP Alexandre Neuvy, responsable de la gestion privée chez Amplegest.
"Le marché a l’impression que personne n’a intérêt à une escalade", ni Donald Trump, ni l’Iran, "et qu’on en restera à des événements très ponctuels", a-t-il complété. C’est pourquoi nous avons "des marchés qui résistent" dans le calme. Les indices boursiers ont accusé le coup vendredi après l’annonce de l’assassinat du puissant général iranien Soleimani par un raid américain en Irak, et les prix du pétrole ont bondi. Dans la foulée, le Parlement irakien a adopté une résolution réclamant la fin de la présence de troupes américaines dans le pays, un vote qui a conduit les États-Unis à brandir la menace de sanctions contre Bagdad.
Le président américainDonald Trump a par ailleurs menacé dimanche de frapper 52 sites ciblés en Iran si la République islamique attaquait du personnel ou des sites américains en guise de représailles à la mort du général Soleimani, tandis que Téhéran brandissait la menace d’une nouvelle réduction de ses engagements contenus dans l’accord international sur son programme nucléaire.
Du côté des indicateurs, l’inflation s’est accélérée en décembre à 1,3% sur un an en zone euro. Aux États-Unis, le déficit commercial est tombé en novembre à son plus bas niveau depuis octobre 2016, sous l’effet d’un nouveau recul des importations en provenance de Chine.
La croissance de l’activité dans les services a quant à elle rebondi plus que prévu en décembre, largement tirée par la production, selon l’indice ISM. "Les statistiques américaines ont été à peu près en ligne et donc n’ont pas constitué de moteur particulier pour les marchés", a relevé M. Neuvy.
Au Royaume-Uni, la journée a été par ailleurs marquée par la reprise des débats sur l’accord de Brexit au Parlement.
Sur le terrain des valeurs, une bonne partie du CAC 40 a terminé dans le vert, avec en tête de l’indice Atos , qui a bénéficié de l’annonce d’un contrat de quatre ans avec l’Université du Luxembourg pour la fourniture d’un supercalculateur.
Altaprofits franchit une nouvelle étape dans l’exécution de son plan stratégique de transformation visant la croissance de l’entreprise sur le marché français de l’épargne, de la gestion de (...)
La hausse de la CSG de 1.4% ne sera pas applicable à l’assurance vie, c’est la bonne nouvelle pour les épargnants !
En octobre 2025, les versements en assurance vie atteignent 17,1 milliards d’euros, leur plus haut niveau pour un mois d’octobre.
Eurazeo a annoncé le lancement de deux nouveaux fonds, Eurazeo Prime Strategic Opportunities (EPSO) un fonds de private equity, et Eurazeo Prime Income Credit (EPIC), un fonds de dette privée. (...)
Amundi propose 3 fonds d’ETF, 1 par profil d’investisseur, sur une base de 12 ETF. Détails.
Hausse des rendements obligataires, baisse de l’inflation, les fonds euros se rebiffent en 2025.