Comment savoir si je suis bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie ?
Vous pensez être bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie dont l’assuré est décédé ? Comment se faire connaître ?
Question / Réponse : Souscrire plusieurs contrats d’assurance-vie, pourquoi est-ce intéressant de le faire ?
Publié le par
Oui, la détention de plusieurs contrats d’assurance-vie est utile !
En souscrivant plusieurs contrats auprès de différents assureurs, le risque est plus réduit. La faillite d’un assureur est aux dépens de l’assuré, dans la limite de la protection de 70 000 € par assuré. Panaché ses contrats auprès de différents assureurs (Générali, Suravenir, Le Conservateur, ACMN Vie, Spirica, etc) permet donc de limiter les risques.
Tous les fonds en euros ne se valent pas. Si certains ont un historique de rendement qui plaident en leur faveur, la roue tourne. Rien ne dit que tout au long du contrat le fonds en euros le plus performant du départ le restera, autant donc avoir le choix.
La détention de plusieurs contrats d´assurance-vie vous permet d´élargir votre univers d´investissement et de profiter des meilleures opportunités de chaque contrat selon l´évolution des marchés.
Avoir un contrat d’assurance-vie par bénéficiaire, pourquoi pas ? Certains trouveront cela plus simple. A chaque contrat ainsi l’assuré peut désigner une personne de son choix. Une simple question d’organisation, à vous de voir !
Vous pensez être bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie dont l’assuré est décédé ? Comment se faire connaître ?
Ficovie = Fichier centralisé des assurés des contrats d’assurance-vie de 7.500€ et plus.
Il est trop souvent conseillé de ne pas effectuer de versements après 70 ans sur son contrat d’assurance-vie, fiscalité oblige. Mais c’est oublier que, dans certains cas, c’est au contraire (...)
Quel est l’objectif d’un placement en assurance-vie ?
Non ! Sur un contrat d’assurance-vie, le capital placé est toujours disponible. Une confusion s’effectue généralement entre la durée optimale pour accéder à la fiscalité la plus favorable et le (...)