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La Bourse de Paris a plongé de 4,14% vendredi, dans un marché paniqué tant par la chute brutale des cours du pétrole que par la propagation de l’épidémie de coronavirus sur le sol américain, faisant craindre un impact économique non négligeable sur les Etats-Unis, jusqu’alors épargnés.
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L’indice CAC 40 a chuté de 221,99 points à 5.139,11 points, dans un volume d’échanges toujours extrêmement étoffé de 7,6 milliards d’euros. La veille, il avait déjà fini en nette baisse. Il s’agit du plus important plongeon de l’indice sur une séance depuis le 24 juin 2016, au lendemain duréférendum sur le Brexit. La place parisienne a ouvert en forte baisse, accentuant ses pertes au fil de la séance. Le CAC 40 a ainsi dévissé jusqu’à 5.117,57 points, un plus bas depuis plus d’un an.
Au cours de la semaine écoulée, il a perdu 3,22%. Depuis le 1er janvier, il a chuté de 14,03%. "Il y a un thème qui est venu s’ajouter à celui du coronavirus, celui du pétrole, dont les cours aux Etats-Unis ont atteint un plus bas depuis août 2016" et depuis juin 2017 à Londres, a souligné auprès de l’AFP Alexandre Baradez, analyste chez IG France. Dans leur sillage, "les matières premières baissent, faisant pression sur toute la cote", a-t-il complété.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et son principal allié russe ne sont pas parvenus vendredi à s’entendre pour amplifier leurs baisses de productionafin d’enrayer la chute des cours du brut affectés par l’épidémie de nouveau coronavirus.
Par ailleurs, "le gros point d’interrogation des marchés est de savoir comment va évoluer la situation aux Etats-Unis", selon lui. Pour l’heure, le pays est relativement épargné parla propagation du nouveau coronavirus. Les autorités sanitaires ont recensé 180 cas dans une quinzaine d’Etats. Douze personnes en sont décédées.
"Toute la question est de savoir si le risque commencera à arriver sur (le sol américain) alors que pour l’instant, les statistiques restent très bonnes", à l’instar du rapport mensuel sur l’emploi publié ce vendredi, a poursuivi l’expert. Un total de 273.000 nouveaux emplois ont été créés en février, selon les données du département du travail publiées vendredi. Ce nombre est venu contredire les attentes des économistes qui tablaient sur un ralentissement. Le déficit commercial américain a en outre baissé de 6,7% en janvier sous l’effet d’une nette diminution des importations de biens en provenance du Canada et de Chine, selon les données du département du Commerce publiées vendredi.
Mais même si Donald Trump s’est voulu rassurant vendredi, assurant que les marchés allaient "rebondir" et appelant la Fed à de nouveau abaisser ses taux pour stimuler l’économie, son principal conseiller économique, Larry Kudlow, a reconnu que l’économie américaine "devrait ralentir au prochain trimestre". "Le risque est que le marché s’enferme dans quelque chose qui reste baissier durablement, or on s’approche de cette situation dangereuse" puisque les pertes cumulées de l’indice parisien depuis ses plus hauts du 19 février frôlent désormais les 17%, à quelques points de pourcentage des 20% de baisse qui caractérisent un "bear market" ou marché baissier, a complété M. Baradez.
En matière de valeurs, ce sont les pétrolières qui ont payé le plus lourd tribut, à l’instar de Vallourec (-14,06% à1,38 euros), CGG (-11,90% à 1,98 euro) ou encore TechnipFMC (-8,07% à 11,28 euros). Total s’en tirait relativement mieux (-4,87% à 37,15 euros).
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